Le Prieuré de Sion aujourd’hui

Tipeee pour la Gazette de Rennes-le-Château et de l'Aude

Aujourd’hui, le Prieuré de Sion se perpétue à travers trois filiations principales, tous les trois internationales, mais situées dans différentes parties de l’Europe qui sont la France, l’Espagne et l’Italie.

Parmi ceux-ci, un seul est actuellement un ordre initiatique ainsi qu’une association légalement enregistrée, le Prieuré de Sion – Ordre de la Rose-Croix Véritas O.D.L.R.C.V. qui a comme Secrétaire Général et Grand Maître, Marco Rigamonti. Découvrir le nouveau Prieuré !

Prieuré de Sion – Ordre de la Rose-Croix Véritas O.D.L.R.C.V. a comme autorité initiatique de référence, Gino Sandri, qui est le Grand Patriarche de l’Ordre.

Secrétaire Général et Grand Maître, Marco Rigamonti, le prieuré de Sion aujourd'hui
Secrétaire Général et Grand Maître, Marco Rigamonti

L’Ordre est enregistré en Italie, avec plusieurs sites, en Italie, en France, à Monaco, en Angleterre, en Espagne, en Hollande, en Belgique et dans certains Etats des États-Unis.

Gino Sandri
Gino Sandri, Grand Patriarche de l’Ordre, toujours en poste en 2019 ?

Les raisons qui ont conduit pour la deuxième fois depuis 1956, à enregistrer officiellement le Prieuré de Sion comme une association dans une entité juridique, sont différentes de celles de 1956, où l’acte était destiné à marquer une scission entre le Prieuré de Sion européen et américain.

Les raisons de l’enregistrement actuel du Prieuré comme une association légalement établie, se trouvent dans la volonté d’une adaptation aux temps modernes, une sorte de compromis qui a été décidé dans le but de maximiser le flux d’un message qui, étant destiné seulement à quelques-uns, n’est pas facile d’être remis aux bénéficiaires admissibles, dans le chaos du paysage actuel de l’information.

Le prieuré de Sion aujourd'hui : Gino Sandri Grand Patriarche de l'Ordre de la Rose-Croix Véritas O.D.L.R.C.V.
Gino Sandri Grand Patriarche de l’Ordre de la Rose-Croix Véritas O.D.L.R.C.V.

Le prieuré de Sion aujourd’hui

Tout cela est effectivement perçu par l’Ordre comme un véritable compromis, juste parce qu’un ordre initiatique n’a pas besoin de superstructure profane de toute nature, ce qui est absolument inutile et techniquement une dégénérescence de celle-ci, comme la contrainte initiatique, parce que sa transmission est une liaison vibratoire et spirituelle indissoluble et insaissisable, étant au-dessus de toute contingence ou « clôture » profane ou bureaucratique.

Le Prieuré de Sion a le devoir de préserver et de transmettre des connaissances et des secrets qui sont cachés dans les symboles, les pratiques rituelles et l’Alchimie.

Nous parlons de la transmission du dépôt de quelque chose de « non humain », mais hérité depuis des temps immémoriaux, par le bouche à oreille et de l’oreille à la bouche, dans une chaîne ininterrompue jusqu’à ce jour. Il est un héritage qui n’est pas de ce monde.

Le Prieuré est conscient que sa connaissance provient d’une transmission accordée par des entités qui ne sont pas de ce monde, et l’une d’entre elles n’appartient même pas à cette dimension ; ce savoir a été donné à certains hommes, afin de créer un ordre pour l’humanité, afin de défendre l’humanité du chaos et d’encourager les progrès. De toute évidence, une telle connaissance ne peut pas être transmise à tous indistinctement pour la raison évidente que seule une partie de la population peut être en mesure d’en faire bon usage et de l’appliquer d’une manière efficace et productive.

Le test de cette transmission non humaine est l’impossibilité de déterminer les vrais auteurs originaux historiques de cette connaissance, il suffit de penser les mêmes symboles ; en fait, on ne connait pas l’auteur de tout symbole, que ce soit au sens figuré ou sonore (Mantra), car ils ont été hérités et sont maintenant dans les livres, mais l’auteur spécifique pour chaque symbole n’est pas connu et jamais quelqu’un n’a écrit à cet égard.

En fait, le symbole est en soi, même objectivement « non humain ». Il est quelque chose qui nous permet de nous transcender, de nous élever de notre condition humaine aux états d’être supérieurs, simplement parce que il est « non humain », puis il donne des suggestions qui ne sont que des « points de départ », sans définir les « points d’arrivée ».

L’homme a ensuite, par l’utilisation de symboles, dans la conception large la plus imaginable du terme, pu étendre les limites de l’être humain.
Ce type d’activité qui n’est certainement pas une étude académique simple et profane, est entrepris par la pratique de l’alchimie, comprise dans le simple concept spirituel de celle-ci.

C’est dans ce contexte que s’engage alors la pratique des rituels qui ont leur propre valeur symbolique supplémentaire et, dans certains cas, même une opération très mystique.

Ils ont une fonction essentiellement mystique qui fournit alors la possibilité d’un contact avec des intelligences exogènes. Ils sont essentiellement basés sur une pratique de méditation qui permet d’être dans les conditions pour recevoir la réception d’un « Signal » qui est « externe ».

Ces rituels sont destinés à nous mettre en contact avec notre essence la plus profonde qui réside dans l’inconscient que nous croyons être le « pont » en ce qui concerne notre « composante spirituelle » comme pour les entités exogènes. Le travail qui est fait par l’initié est précisément de mettre en œuvre l’efficacité de ce « pont », faisant de cette « communication » entre la composante spirituelle et l’Esprit Conscient quelque chose de plus en plus conscient et efficace ; nous parlons du développement d’une qualité, ce qui affecte avantageusement tous les aspects de l’individu.

Notre Composante Spirituelle peut communiquer avec nos esprits conscients, à travers les suggestions ou les pensées qui peuvent surgir à un niveau conscient, mais on a besoin d’un « conteneur » cognitif conscient, qui est capable d’interpréter et de décoder précisément ces réalités qui vont émerger.

Le succès du processus mentionné ci-dessus n’est pas évident ; citons des études de Bruce H. Lipton (1) : l’inconscient a 40.000.000 de fois la capacité cognitive du moi-conscient (référence tout à fait symbolique).
La question est la frontière entre l’esprit individuel et le début de quelque chose d’autre, dont nous sommes peut-être en partie au niveau inconscient, comme une Conscience Universelle, que nous pouvons appeler Dieu, Père, ou Père Créateur, pour utiliser un terme plus neutre, à son tour reliée, comme nous d’ailleurs, à d’autres formes de conscience qui font partie de celle-ci, même dans leur individualité.

Il est fascinant de constater combien de fois on n’arrive pas à résoudre un problème très complexe après des heures de réflexion, et comment, au contraire, très souvent, ce même problème est résolu dans le détail le plus précisément possible, tandis que l’esprit conscient est impliqué dans autre chose, comme par exemple observer un paysage, ranger des livres ou marcher ; il est absolument clair que d’une certaine façon, l’activité de la pensée dans son ensemble n’est pas perçue consciemment, mais il est de plus en plus indéniable que la plupart de l’activité a lieu où le moi-conscient ne peut pas avoir accès, du moins pas sans l’aide de pratiques et d’activités dédiées et spécifiques, comme l’hypnose ou de certains types de méditation qui sont en mesure de modifier l’état de conscience qui porte le stade jusqu’à Theta / Gamma (Theta avec des possibilités de pensée active), à partir du stade Alpha jusqu’au stade Theta.

Du stade Alpha jusqu’au stade Theta
Du stade Alpha jusqu’au stade Theta

Un autre exemple intéressant qui peut nous conduire à saisir d’autres nuances ou dynamiques avec lesquelles ces mécaniques ont lieu, est le soi-disant « bloc de l’artiste ». Combien de fois avons-nous observé un artiste puiser son inspiration à partir d’un bloc, immobilisé pendant des heures en face d’une feuille de papier vierge, incapable de la remplir avec les fruits de son art ? Combien d’autres fois, il est capable de réaliser toute création artistique, en quelques instants, passant de l’impulsion créatrice à la matérialisation de l’expression ?

En fait, la concentration pure, elle-même, ne peut favoriser que la technique sophistiquée, pas la réception de ces inspirations et idées, que le génie créatif peut suggérer seulement à travers notre inconscient, par notre Composante Spirituelle même.

Conformément à ces observations, on peut en déduire que, en réalité, toute tentative exacerbée de la concentration, supprime l’activité créatrice qui prend sa source dans l’inconscient.

Puis la concentration, au cours des activités créatives, ne devrait pas être l’élément prédominant, mais subordonné, comme un cheval puissant qui est monté par le Chevalier.

Ainsi, à travers la participation à certains rituels impliquant ces techniques de méditation, vous pouvez également entrer en contact avec des entités exogènes, toujours dans la grâce de Dieu, en invoquant l’aide et la protection de Dieu avant chaque pratique.

Mise à jour 11 novembre 2019, 26 mars 2017, Prieuré de Sion – Ordre de la Rose-Croix Véritas O.D.L.R.C.V. ET GAZETTE DE RENNES-LE-CHATEAU ©

Liens indispensables :

Le Prieuré de Sion son histoire, sa légende à lire ICI !

La pseudo-révélation de Philippe de Chérisey avec son soi-disant “Pierre et Papier” à découvrir ICI !

La biographie de Pierre Plantard de Geneviève Beduneau à apprécier ICI !

Ulpian s’interroge sur une autre interprétation de S.I.O.N. : “ce terme recouvre le siège (qui a varié selon les époques) où les prêtres catholiques adoraient en secret un autre Dieu que le Christ, à savoir Jean le Baptiste, véritable crucifié de Pilate !”

Florence Cazebon-Taveau, écrivaine et scénariste, nous présente son scénario : Quand le mystérieux prieuré de Sion s’invite à Rennes le Château ! Elle a réalisé une présentation vidéo.

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